Dr. Marie N’diaye (PhD) est une chorégraphe, interprète et éducatrice de Lindy Hop et de jazz vernaculaire afro-américain ainsi qu’une chercheuse en danse.

Marie danse depuis presque aussi longtemps qu’elle sait marcher, le faisant principalement en jazz moderne. Elle est tombée en amour avec le Lindy Hop et d’autres danses de jazz vernaculaires afro-américaines en 2006.  

Véritable scientifique (elle a obtenu son doctorat en neuroimmunologie de l’Institut Karolinska, Stockholm Suède en 2018), Marie aime l’histoire et les faits. Elle a appliqué sa méthode scientifique et son enseignement de la danse pour mener une recherche incarnée basée sur la pratique de la danse jazz à travers l’étude de clips vidéo originaux et de collaborations avec de nombreux danseurs établis.

Elle a également effectué des recherches sur le contexte culturel et social de l’ère de la danse jazz à travers d’études de littérature et d’entrevues d’artistes. Elle se concentre principalement sur les femmes afro-américaines de jazz et les « chorus girls » de l’époque.

Marie a travaillé et dansé avec les fantastiques professeurs du Cat’s Corner Studio à Montréal, au Canada et du Chicago Swing Dance Studio à Stockholm, en Suède. Elle enseigne également à l’international, en France, Espagne, Angleterre, Australie, Russie, USA, Chine … ainsi qu’au célèbre Herräng Dance Camp.

Actuellement, Marie est membre du conseil d’administration du tout nouveau Black Lindy Hoppers Fund (une organisation vouée à soutenir les danseurs et artistes africains et de la diaspora africaine dans le Lindy Hop et le Jazz), ainsi que la Fondation Frankie Manning . Elle dirige également une nouvelle organisation à but non lucratif, Collective Voices for Chang, avec d’autres danseurs et universitaires afin de créer une plate-forme pour aborder les problèmes sociaux dans la communauté de la danse jazz. L’objectif actuel du CVFC est de s’attaquer aux problèmes d’appropriation culturelle et d’inégalités raciales dans la scène de la danse.


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